25 septembre 2006

Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part


Grosse déception: il s'agit de nouvelles, et non d'un roman! Je trouve que cela aurait dû être inscrit sur la page couverture. On ne commence pas un roman dans le même esprit que des nouvelles. Surtout que je ne m'en suis aperçue qu'au milieu de la deuxième nouvelle! Personnellement, j'ai toujours eu de la difficulté avec ce style littéraire. Paradoxalement, plus c'est bien écrit (et c'est le cas ici), plus c'est frustrant. On s'attache aux personnages, on voudrait en connaître plus sur eux, on veut rester dans cet univers.

Pour des nouvelles, c'est excellent. Par ailleurs, l'une d'entre elle me dit quelque chose, je crois que j'ai déjà vu un court métrage qui en a été tiré, celle du jeune qui «emprunte» la Jaguar de son père et fonce dans un sanglier en traversant la forêt.


Prochaine lecture: Je m'attelle à The Rebels of Ireland, d'Edward Rutherfurd, la suite de The Princes of Ireland. Une grosse brique de 860 pages écrit serré!


Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, d'Anna Gavalda, publié chez Le dilettante en 1999.

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