Je peux pardonner beurre de cacahuètes au lieu de beurre d'arachides, mais lire des expressions comme ouvrir les esgourdes et brider la bécasse (???) dans un roman se déroulant à quelques heures de route de Montréal, ça fait bizarre. Déjà que je ne suis pas fan des traductions, au moins lorsque l'action se déroule au Canada, est-ce qu'on pourrait avoir un traducteur canadien, s'il-vous-plaît, messieurs les éditeurs?
Quant à la sagesse rétrospective est de dix à chaque oeil, j'en reste baba. Je suppose qu'il s'agit d'une traduction boiteuse de l'expression hindsight is 20/20?
J'en suis à la moitié, l'histoire est excellente, dommage que la traduction soit aussi pourrie!
À suivre...
(Rendons à César, j'ai piqué l'image ici.)
La suite de mon commentaire...
Je vais remercier le ciel de l'avoir acheté en VO!!! Il est cute, minou dubitatif (ou découragé)!!! ;) Bonne fin de lecture!
RépondreEffacerTu as vraiment bien fait de le prendre en VO!
RépondreEffacerPS C'est un minou grognon! ;-)
brider la bécasse... ateller le cheval? Est-ce que je suis dans le champ?
RépondreEffacerJules, d'après le contexte, cela pourrait vouloir dire «berner quelqu'un» ou quelque chose comme ça...
RépondreEffacerBen dis donc, je ne savais pas tout ça. Ce roman est dans ma PAL et lorsque je le lirai enfin, je penserai à ce souci de traduction ;-)
RépondreEffacerAu fait, j'avance bien dans mon défi de la Rose contarirement à mon challenge ABC. Je crois que j'ai été trop gourmande cette année, l'an prochain je me contenterai de ce gentil défi du Nom de la Rose :-D
Katell: À part quelques phrases bâtardes comme celle que j'ai citée en dernier paragraphe, le reste, j'imagine, sera peu dérangeant pour un lecteur européen; enfin, je te le souhaite!
RépondreEffacerMon défi avance bien moi aussi, je crois qu'il ne me reste qu'une catégorie!
les **&&%$ de traduction française... J'écris à chaque fois une lettre aux maisons d'éditions maintenant. Pas encore une seule réponse en six lettres ; ça donne une idée de l'importance que l'on accorde aux commentaires des lecteurs dans les grandes boites de l'édition française. Mais bon, le règne des maisons d'éditions touche à sa fin......
RépondreEffacerC'est sûrement une bonne idée d'écrire même s'ils ne répondent pas... Ne serait-ce que pour ton défoulement personnel! ;-)
RépondreEffacerJe commence à penser à me faire une liste de traducteurs aimés et détestés... Par exemple, je viens de commencer un essai d'Alberto Manguel et la traduction de Christine Le Boeuf est jusqu'à maintenant absolument sans reproche, un vrai plaisir à lire...