19 janvier 2012

La Forêt ivre

Difficile de croire que ces récits se déroulent bien sur la planète Terre. La faune et la flore que nous décrit le naturaliste anglais Gerald Durrell sont si étranges qu'on se croirait en train d'explorer Alflolol avec Valérian et Laureline.  Jusqu'à ce qu'une révolution vienne écourter abruptement le voyage, là on se dit que oui, finalement on est en Amérique du Sud.

Dans les premiers chapitres, il faut faire un petit ajustement mental, se dire qu'en 1956 c'était politiquement correct d'aller capturer des animaux sauvages pour le bénéfice des zoos européens. Le reste du livre est un délice d'humour et de dépaysement. Je rêve maintenant d'adopter un tamanoir.  Je ne sais pas si Bouboule sera d'accord...

Il ne semble pas très chaud à l'idée...


La Forêt ivre de Gerald Durrell, 1972 pour la traduction de l'anglais, 248 p. Titre de la version originale: The Drunken Forest, 1956.

8 commentaires:

  1. Hum... je crois que tu auras droit à une manifestation si tu insistes avec ce tamanoir!!!

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  2. Jules: en effet, et disons qu'il a un grand talent dans ce domaine!

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  3. Un tamanoir, why not, si ça se trouve il vont devenir copains... le livre a l'air sympa :-)

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  4. Yueyin: Copains, hum, on peut toujours rêver...

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  5. Il ne me semble pas très réceptif à cette idée ;) mdr ! Les miennes réagiraient tout pareil ! Et je note ce titre ... j'en ai d'autres de cet auteur de notés mais pas celui-ci !

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  6. Peut-être qu'il préfèrerait l'adoption d'un oiseau exotique... :) (À table le chat !)

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  7. Un livre vraiment intéressant et quant à Bouboule ... ben, fallait pas le réveiller pour lui d'mander ! Pauv' matou ;)

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  8. Joëlle: J'ai adoré aussi Fééries dans l'île, réédité sous le titre Ma famille et autres animaux.

    Alys: Ou alors une mignonne petite souris sud-américaine... Miam!

    GeishaNellie: Oui, il n'est pas trop un «morning person», comme disent les anglos, faut pas trop le brusquer au réveil!

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