23 septembre 2017

Marius

«Quand on fera danser les couillons, tu ne seras pas à l'orchestre!»

Quel plaisir de retrouver Pagnol, que j'avais tant aimé dans Jean de Florette, Manon des sources et surtout dans ses mémoires (La Gloire de mon père et ses suites).  Son humour, son amour pour ses personnages, ses dialogues qu'on ne peut s'empêcher d'entendre «avé l'acceng» si délicieux.  Moi qui lis peu de théâtre, j'ai vraiment adoré cette pièce, qui raconte pourtant une histoire toute simple.  Je crois avoir déjà vu une scène du film qui en a été tiré, celle, hilarante,  où César triche aux cartes: «Tu me fends le cœur!» La fin est touchante, et j'ai déjà hâte de lire la suite pour savoir ce qui va arriver à Fanny!


Marius de Marcel Pagnol, 1929, 186 p.

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