29 septembre 2007

C'est une épidémie...


J'espère que ce n'est qu'une coïncidence et non le signe d'une montée de ce phénomène exaspérant! Sur les six livres que j'ai empruntés à la bibliothèque municipale, trois comportent des marques au crayon ou au stylo! Quel manque de respect! Dans celui que je lis en ce moment, un imbécile a mis des marques dans la marge pour se rappeler où il était rendu... Allo? Le signet, tu connais? Bachi-bouzouks!

17 commentaires:

  1. Comme je comprends! Ça arrive trop souvent! Surtout à la bibliothèque de l'Université avec des livres susceptibles d'être utilisés pour des cours... Un des livres que je devais utilisé cet été était rempli de parties surlignées en trois couleurs et soulignées au stylo.... Difficile de se concentrer sur le texte dans ces cas-là...

    C'est vraiment un très grand manque de respect... On fait ce que l'on veut de ses livres, mais pas de ceux empruntés il me semble!

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  2. Oui, tu as raison, je me souviens qu'au Cégep et à l'Université, c'était une vraie plaie!

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  3. How horrible! I cannot stand when people write in books!

    Recently, I had a book where someone went through and capitalized "scotch" through out the entire book! UGH!

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  4. How irritating, Spacemom! Although I must admit that your comment made me laugh because it made me think of my mother, who absolutely has to discreetly correct typos and grammatical errors in the books she reads (only when they're hers, though!); you see, she's a retired proof-reader, and I guess old habits die hard!

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  5. Et on ne parle pas des traces de chocolat, jus, etc. Je serais curieuse de voir la quantité de bactéries vivant dans ces bouquins...

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  6. A l'université, les livres étaient souvent surlignés, griffonés. En bibliothèque municipale, le problème est plutôt les pages écornées. C'est pourtant simple d'utiliser un marque-page ou le papier indiquant la date de retour donné par la bibliothèque.

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  7. Jules, je préfère ne pas y penser!

    Naina, c'est vrai, les pages écornées c'est très fâcheux aussi!

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  8. Hélas, ce phénomène se répand de plus en plus, j'ai même découvert une liste de course écrite au stylo sur une page sans compter les ratures etc...c'est désolant !!

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  9. En effet, c'est désolant d'écrire dans un livre ! Les gens ne sont pas tous si soigneux que ça, c'est dommage, un livre c'est si précieux !

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  10. Nath, je peux comprendre un accident (tache de café, etc) mais écrire dans un livre, c'est vraiment désolant, comme tu dis!

    Florinette, une liste de course, c'est vraiment le comble!!!

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  11. Heureusement que tu ne l'avais pas en face, vu la photo que tu as choisi !
    Si ça se trouve c'est quelqu'un qui te traque à coup de crayon sur les livres que tu empruntes ;)

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  12. Héhé la photo reflète bien mon état d'esprit du moment, en effet... ;-)

    Anjelica, si c'est cela, ce type a un sacré pouvoir d'anticipation! Je ne savais même pas quels livres j'allais emprunter avant d'arriver à la bibli! Il pourrait utiliser ses pouvoirs à meilleur escient, ce salaud! Grrr!

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  13. Je suis entièrement d'accord avec vous. On n'abime pas un livre appartenant à une bibliothèque. Qu'on écrive dessus, qu'on le souligne ou le surligne, qu'on le froisse ou qu'on écrive la liste des courses dessus. Jusqu'au pire: dans les grandes écoles où le classement final incite certains à arracher les pages correspondant à un travail pour hypothéquer les chances de leurs concurrents.

    MAIS

    Ayant été "éduqué" dans le respect des livres par une famille qui n'avait pas plus de douze livres à la maison, et qui m'offrait parfois des livres "Jean de Bonnot" avec fausse reliure et cote dorée, j'ai fini par avoir une attitude frileuse envers les livres.
    Devenu critique littéraire je prenais des notes sur un papier blanc avec (ou sans) le numéro de la page correspondant dans le livre, essayez de vous y retrouver après. Mon rédacteur en chef de l'époque m'a encouragé à souligner, noter, faire en marge des références.
    Me Kiejman m'a dit avoir lu trois fois la même Pléiade dans sa vie, l'annotant à chaque fois d'une couleur différente et découvrant ainsi que l'émotion adolescente, adulte et plus âgée différait bien évidemment. Maintenant j'encourage les lecteurs à écrire sur leurs livres. Et j'ai réussi, une fois, à jeter un livre à la poubelle, celui du Fondateur de la Scientologie. Vous ne pouvez pas imaginer comme ça fait du bien.

    C. Sauvage

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  14. Quant à moi, étudiante je n'avais aucun problème à écrire dans un livre dans le cadre d'un travail, lorsque ce livre m'appartenait! Souvent il s'agissait d'un livre acheté spécifiquement pour le travail et que je n'avais pas l'intention de relire après.

    L'arrachage de pages pour nuire aux autres étudiants, j'ai déjà entendu dire que cela se faisait, mais heureusement je n'en ai jamais été victime... Déplorable!

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  15. Même si le livre m'appartient, je n'y écris pas de temps. La seule chose que je fais éventuellement (si j'ai un crayon à portée de main), c'est corriger les erreurs de typo ... et encore, au crayon à papier, pas au stylo !

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  16. Euh, le "de temps" de mon comm précédent, je ne sais pas d'où il sort ! mdr !

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