25 septembre 2006
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part
Grosse déception: il s'agit de nouvelles, et non d'un roman! Je trouve que cela aurait dû être inscrit sur la page couverture. On ne commence pas un roman dans le même esprit que des nouvelles. Surtout que je ne m'en suis aperçue qu'au milieu de la deuxième nouvelle! Personnellement, j'ai toujours eu de la difficulté avec ce style littéraire. Paradoxalement, plus c'est bien écrit (et c'est le cas ici), plus c'est frustrant. On s'attache aux personnages, on voudrait en connaître plus sur eux, on veut rester dans cet univers.
Pour des nouvelles, c'est excellent. Par ailleurs, l'une d'entre elle me dit quelque chose, je crois que j'ai déjà vu un court métrage qui en a été tiré, celle du jeune qui «emprunte» la Jaguar de son père et fonce dans un sanglier en traversant la forêt.
Prochaine lecture: Je m'attelle à The Rebels of Ireland, d'Edward Rutherfurd, la suite de The Princes of Ireland. Une grosse brique de 860 pages écrit serré!
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part, d'Anna Gavalda, publié chez Le dilettante en 1999.
The Broker (suite)
Finalement, il ne se passe pas grand-chose, c'est plus la peur qu'il arrive quelque chose qui soutient le suspense! Je me demande si c'est toujours ainsi dans les romans de Grisham; il me semble que dans les films il y avait plus d'action! Ce n'est pas une critique, je ne suis pas nécessairement une amatrice de grosses explosions, poursuites de voitures, etc! C'est plus subtil, tout est dans l'ambiance.
13 septembre 2006
The Broker
C'est le premier Grisham que je lis dans sa série de suspenses -- bien sûr j'ai vu les films qui ont été tirés de plusieurs de ses livres: The Firm, The Pelican Brief etc, tous très bons -- mais j'avais lu il y a quelques années Skipping Christmas, une comédie, que j'avais bien aimé même si la fin m'avait un peu déçue. Jusqu'à maintenant je trouve ce roman passionnant, puisqu'il s'agit non seulement d'un suspense mais aussi de la découverte d'une autre culture, celle de l'Italie, par le personnage principal, un avocat américain, qui doit tenter de s'y intégrer. La description de la nourriture donne l'eau à la bouche: risotto, pannini, pasta, et en plus on apprend plein de trucs: ainsi par exemple, en Italie il ne faut pas commander un cappucino plus tard que le déjeuner, ça fait touriste. C'est le genre de connaissance obscure dont je me rappellerai pendant des années, alors que dans deux mois je serai probablement incapable de me souvenir comment le livre finit.
The Broker, de John Grisham, publié chez Doubleday en 2005.
The Broker, de John Grisham, publié chez Doubleday en 2005.
11 septembre 2006
Lord John and the Private Matter
En attendant que le nouveau livre de la série Outlander soit disponible à la bibliothèque, j'ai trouvé celui-ci, dont je n'avais jamais entendu parler et qui est du même auteur, Diana Gabaldon. Il s'agit en fait d'un petit roman (commencé comme une nouvelle, nous dit-on en préface, mais qui finalement fait tout de même 300 pages!) mettant en vedette un personnage secondaire de la série, Lord John Grey. Donc cela se passe au XVIIIe siècle, et c'est à la fois un roman historique -- Mme Gabaldon est toujours aussi bien documentée -- et un roman policier puisque, suite au meurtre d'un officier soupçonné d'espionnage, Lord Grey devra poursuivre une enquête qui le mènera jusque dans les bas-fonds des milieux homosexuels de Londres. Le sujet est donc assez original, et aurait pu être scabreux, mais c'est traité avec le style léger habituel à cet auteur, et ça se lit comme un charme. Un petit livre plaisant.
Prochaine lecture: The Broker, de John Grisham.
Lord John and the Private Matter, par Diana Gabaldon, publié chez Doubleday Canada en 2003.
05 septembre 2006
Ensemble, c'est tout!
Quel beau livre! Très «français de France», alors parfois je ne saisissais pas certaines références mais on s'en fout! Ces personnages on les aime, avec leurs imperfections, leur passé merdique qui se dévoile peu à peu. Quand on n'a pas de vraie famille, on peut s'en recréer une autre avec des amis. Et quel humour! Des fois j'ai ri tout haut, à la fin j'ai pleuré... Ça me fait penser à du Maeve Binchy à son meilleur, mais avec l'esprit français, très caustique, au lieu de l'humour irlandais, plus bonhomme, et avec des personnages encore plus «poqués»!
En plus, comme le personnage est une artiste, ça m'a donné le goût de recommencer à dessiner, même si c'est dur et que je n'ai pas son talent...
Le genre de livre qu'on dévore sans pouvoir s'arrêter mais qu'on voudrait sans fin! J'ai déjà hâte de lire les livres précédents de cet auteur, j'espère les trouver facilement à la bibliothèque!
Prochaine Lecture: Ce devait être Nous les dieux, de Bernard Werber, le premier tome. Après avoir lu une dizaine de page, il apparaît que certains personnages reviennent de livres précédents... Donc il est sûrement mieux de les avoir lus avant! Alors tout compte fait, ma prochaine lecture sera Lord John and the Private Matter, de Diana Gabaldon.
Ensemble, c'est tout, de Anna Gavalda publié chez le dilettante (oui, oui, sans majuscules!) en 2004.
En plus, comme le personnage est une artiste, ça m'a donné le goût de recommencer à dessiner, même si c'est dur et que je n'ai pas son talent...
Le genre de livre qu'on dévore sans pouvoir s'arrêter mais qu'on voudrait sans fin! J'ai déjà hâte de lire les livres précédents de cet auteur, j'espère les trouver facilement à la bibliothèque!
Prochaine Lecture: Ce devait être Nous les dieux, de Bernard Werber, le premier tome. Après avoir lu une dizaine de page, il apparaît que certains personnages reviennent de livres précédents... Donc il est sûrement mieux de les avoir lus avant! Alors tout compte fait, ma prochaine lecture sera Lord John and the Private Matter, de Diana Gabaldon.
Ensemble, c'est tout, de Anna Gavalda publié chez le dilettante (oui, oui, sans majuscules!) en 2004.
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