Pourtant, j'avoue m'être un peu ennuyée durant cette lecture. Quand les «méchants» sont plus intéressants que les «bons», on a un problème, non? Et quand les «bons», d'anciens agents de la CIA, se font avoir comme des débutants, ça manque de crédibilité. Mais le principal défaut de ce roman est que la menace reste abstraite jusque dans les derniers chapitres et que l'intrigue manque d'intensité. Jamais je ne me suis sentie concernée par cette histoire.
Point positif; on voyage beaucoup, du Cap-Vert au Brésil en passant par le Colorado, l'Afrique du Sud et la Pologne. Mais je m'en tiendrai dorénavant aux romans historiques de Rufin puisque sa plume semble mieux me convenir dans ce registre. En effet, je garde un bon souvenir de Rouge Brésil et surtout du Collier rouge, un coup de cœur.
Le Parfum d'Adam de Jean-Christophe Rufin, 2007, 539 p.
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