J'ai aimé: la finesse de la plume, le vocabulaire recherché, les variations autour du thème de Méduse et des méduses, qu'on reconnaisse la ville de Québec à travers les indices donnés ici et là, le message sur la puissance féminine, sur la réappropriation du corps.
J'ai moins aimé: l'ambiance vraiment trop glauque, et parfois un manque de subtilité dans la transmission du message mentionné ci-dessus, en particulier à la fin (on avait compris la métaphore, ce n'était pas nécessaire de l'appuyer de façon aussi littérale).
Alors, quel côté l'emporte? Je crois bien que c'est 50-50!
Méduse de Martine Desjardins, 2020, 216 p.
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